Logion: 10 de l’évangile de Thomas

« Vous avez en effet cinq arbres dans le Paradis qui ne bougent ni été ni hiver et leurs feuilles ne tombent pas. Celui qui les connaîtra ne goûtera pas de la mort. »

Les chercheurs débattent des mystères qui les entourent depuis des siècles. La signification mystique qui se cache derrière les célèbres monolithes de l’Âge du bronze de Stonehenge

⋙ Connaît-on enfin l’histoire des pierres de Stonehenge en Angleterre ?

Dans une étude parue dans Antiquity le 23 mars 2023, des chercheurs spécialistes de l’astronomie ancienne écartent l’une d’entre elles : le spectaculaire cercle mégalithique du sud de l’Angleterre et son “fer à cheval” ne servaient probablement pas de calendrier solaire, comme cela a été suggéré dans des recherches publiées l’année dernière par Timothy Darvill, professeur d’archéologie à l’université de Bournemouth (Angleterre) et spécialiste du monument. Ce dernier indiquait en effet qu’il aurait fonctionné comme appareil calendaire géant, sur un cycle de 356,25 jours — presque exactement la mesure utilisée de nos jours. Au lieu de cela, avancent les scientifiques dans leur nouveau rapport, le site aurait principalement été utilisé comme mémorial aux morts.

L’origine des mégalithes de Stonehenge enfin découverte ?

Un calendrier solaire en 356,25 jours, inspiré du Proche-Orient ?
Si les premières pierres de Stonehenge semblent avoir été placées il y a environ 5.000 ans, le monument aurait été construit étape par étape sur environ 1.000 ans. Dans la première étude, publiée elle aussi dans la revue Antiquity, Timothy Darvill explique que l’anneau de pierres “sarsen” (dérivé de l’anglais médiéval “sarrasin”, “païen”) levé vers 2.500 av. J.-C. sur le site, pourrait avoir fonctionné comme calendrier solaire. Peut-être pour savoir quand tombaient les jours de fête, ou encore comme démonstration de “maîtrise du cosmos” pour renforcer le pouvoir politique. “L’alignement clair des solstices de Stonehenge a incité les gens à suggérer que le site comprenait une sorte de calendrier depuis l’antiquaire William Stukeley”, indiquait-il ainsi dans un communiqué.

⋙ Et si Stonehenge avait été construit à partir d’un monument gallois plus ancien ?

À l’origine, et selon les archéologues, trente pierres (linteaux de sarsen) se dressaient sur le cercle principal des lieux, contre dix-sept aujourd’hui. Le professeur soutient qu’elles auraient pu correspondre aux mois de trente jours, tandis que des pierres distinctives auraient marqué le début de chaque semaine de dix jours. Les cinq trilithes intérieurs du “fer à cheval”, ces structures composées de deux pierres verticales en supportant une troisième, pourraient ainsi avoir représenté les cinq jours épagomènes, c’est-à-dire ajoutés à la fin de l’année pour corriger le décalage. Un modèle qui, d’après le chercheur, aurait pu être influencé par les calendriers utilisés au Proche-Orient à la même époque, celui d’Alexandrie par exemple, combinaison du calendrier julien et du calendrier civil égyptien. Mais cela impliquerait que des voyages aient eu lieu entre les anciens habitants du Wiltshire et les populations méditerranéennes en ces temps. Des échanges culturels qui restent à démontrer.

⋙ Quelles sont les différences entre le calendrier lunaire et le calendrier grégorien ?

Un manque de preuves tangibles, selon une nouvelle étude
Ces hypothèses sont basées sur “une série d’interprétations forcées des connexions astronomiques du monument, ainsi que sur une numérologie discutable et des analogies non étayées”, réfutent dans la récente publication le mathématicien Giulio Magli de l’École polytechnique de Milan (Italie) et l’astronome Juan Antonio Belmonte, de l’Institut d’astrophysique des îles Canaries. Selon eux, les dispositions de Stonehenge n’étaient pas assez précises pour servir de calendrier solaire et déterminer la longueur d’une année. “Le lent mouvement du soleil à l’horizon dans les jours proches des solstices rend impossible le contrôle du bon fonctionnement du prétendu calendrier, car l’appareil (rappelez-vous : composé d’énormes pierres) doit être capable de distinguer des positions aussi précises que quelques minutes d’arc, c’est-à-dire moins de 1/10 de degré”, notent-ils.

Par ailleurs, aucune preuve solide ne permet pour le moment de prouver l’existence de liens entre la Grande-Bretagne et les anciens cultes solaires proche-orientaux. “La première élaboration du calendrier 365 plus 1 jour est documentée en Égypte seulement deux millénaires plus tard que Stonehenge”, ajoutent-ils. Ils suggèrent en revanchent que l’objectif principal de l’installation était cérémonial, en mémoire des morts : les fouilles montrent que de nombreuses parties différentes du vaste complexe ont été utilisées comme lieux de sépultures pendant des centaines d’années.

Pour Timothy Darvill, interrogé par nos confrères de LiveScience, “ce qu’ils disent ne remet pas en cause le modèle essentiel des structures de sarsen à Stonehenge construites comme une manifestation d’un calendrier solaire perpétuel”. Sa dimension cultuelle, par exemple, pourrait expliquer l’alignement avec le solstice d’hiver, date liée aux morts dans certaines religions préhistoriques. Les débats de longue date autour de ce “témoin silencieux du paysage sacré de ses constructeurs”, comme le décrivent les chercheurs, sont donc loin d’être clos — sans rien enlever “à sa fascination et à son importance extraordinaires”, concluent-ils tout de même.

Accueil Actualité Société Ovnis, miracles, fantômes : les Français croient de plus en plus au paranormal

59% des Français croient à la véracité d’au moins une forme d’occultisme, tels que le spiritisme ou l’astrologie, selon un sondage de l’Ifop.

C’est un constat qui inquiète, mais qui n’étonne plus. De plus en plus de Français croient au paranormal, selon un sondage* de l’Ifop, commandé par le site de tourisme américain AMB-USA. 59% d’entre eux croient en une ou plusieurs formes d’occultisme, dont font partie les fantômes, le spiritisme et les sorcières.

Existence des fantômes est ainsi validée par 24% des Français sondés: c’est 11 points de plus que dans les années 2000, et 19 points de plus qu’en 1982. Celle des démons et djinns (des créatures surnaturelles en islam) est partagée par 21% des personnes interrogées, et celle de la transmission de pensée par 40% (contre 37% en 1998). Concernant les croyances religieuses, 43% des Français jugent véridiques les miracles, 28% la réincarnation et 24% le diable. Enfin, l’astrologie serait fiable pour 32% des sondés, et les ovnis existeraient selon 28% des sondés - la seule croyance en déclin, puisque le taux était de 33% en 1982.

Un Américain sur deux croit au diable
Le sondage a été également été effectué auprès des Américains. Outre-Atlantique, ce type de croyances est encore plus partagé: 46% assurent que les fantômes sont une réalité, 43% les démons, 34% les sorcières, 71% les miracles, 54% le diable, 31% la réincarnation, 43% les ovnis et 42% l’astrologie. Le seul phénomène paranormal auquel les Français souscrivent plus que les Américains est la transmission de pensée. Au total, 69% des Américains croient à au moins une croyance occulte.

Ces statistiques pourraient encore augmenter à l’avenir. D’après un sondage précédent de l’Ifop, réalisé début 2023, un jeune Français sur six pense que la Terre est plate, et un sur quatre doute de la théorie de l’évolution. Seules 33% des personnes âgées entre 11 et 24 ans estiment aujourd’hui que «la science apporte à l’homme plus de bien que de mal». Ils étaient 55% en 1972.

*Enquête réalisée par l’IFOP pour AMB-USA par questionnaire auto-administré du 18 au 20 janvier 2023 auprès 1113 personnes représentatives de la population américaine âgées de 18 ans et plus, et du 26 au 27 janvier 2023 auprès de 1018 personnes représentatives de la population française âgées de 18 ans et plus.

Article du Figaro
Par Steve Tenré
Publié le 17/03/2023 à 22:47

Pour tous les problèmes liés au Paranormale vous pouvez vous rendre sur www.paranormalcoaching.com pour un accompagnement !

CHEOPS découvre un système planétaire unique Des notes de musique

CHEOPS découvre un système planétaire unique
Des notes de musique qui se complètent agréablement peuvent former une harmonie. Elles entretiennent alors entre elles une relation particulière : lorsqu’elles sont exprimées sous forme de fréquences, leurs rapports donnent des fractions simples, comme quatre tiers ou trois moitiés. Un système planétaire peut lui aussi former une sorte d’harmonie lorsque les rapports des périodes orbitales de ses planètes forment des fractions simples. Par exemple, lorsqu’une planète met trois jours pour orbiter autour de son étoile et que sa voisine en met deux. Grâce au télescope spatial CHEOPS, une équipe de scientifiques dirigée par Adrien Leleu, astrophysicien au Département d’astronomie de la Faculté des sciences de l’UNIGE, au Centre de l’Espace et de l’Habitabilité (CSH) de l’Université de Berne et au Pôle de recherche national (PRN) PlanetS, a trouvé une relation de cette nature entre cinq des six planètes en orbite autour de l’étoile TOI-178, située à plus de 200 années-lumière de la Terre. Les résultats ont été publiés dans le journal Astronomy and Astrophysics.

« Ce résultat nous a surpris car les observations précédentes de la mission TESS (Transiting Exoplanet Survey Satellite) de la NASA suggéraient l’existence d’un système à trois planètes, dont deux en orbite très rapprochées, autour de TOI-178. Nous avons mené des observations complémentaires avec d’autres instruments, comme le spectrographe ESPRESSO au très grand téléscope (VLT) de l’ESO, au Chili, mais les résultats ont été peu concluants », se souvient Adrien Leleu. Lorsqu’avec ses collègues il propose d’étudier ce système de plus près, il ne savait donc pas à quoi s’attendre. Pour y voir plus clair, la précision et la capacité de pointage de CHEOPS étaient nécessaires, mais cela s’est avéré plus difficile que prévu. « Après avoir analysé les données des onze jours d’observation du système avec CHEOPS, il semblait qu’il y avait plus de planètes que nous ne l’avions pensé au départ », explique le chercheur. L’équipe a identifié une solution possible comportant cinq planètes. Elle a donc décidé de consacrer une précieuse journée de temps d’observation supplémentaire à ce système, confirmant la présence de cinq planètes avec des périodes orbitales d’environ 2, 3, 6, 10 et 20 jours.

Alors qu’un système à cinq planètes aurait été une découverte remarquable en soi, Adrien Leleu et ses collègues ont remarqué qu’il y avait peut-être plus que cela : le système semblait être en harmonie. « Notre théorie impliquait qu’il pouvait y avoir une planète supplémentaire dans cette harmonique, mais sa période orbitale devait se situer dans une très petite fourchette centrée sur environ 15 jours. Si la période différait de plus de dix minutes de la valeur prévue, le système aurait été chaotique », souligne Adrien Leleu. Pour vérifier le bienfondé de sa théorie, l’équipe de recherche a programmé une nouvelle observation avec CHEOPS, au moment exact où cette planète manquante – si elle existait – devait passer devant son étoile. Mais un accident a failli anéantir ce projet.

Prédiction confirmée malgré la quasi-collision

« Juste avant le moment de l’observation, un débris spatial a menacé de heurter le satellite CHEOPS », rappelle Yann Alibert, co-auteur et professeur d’astrophysique à l’Université de Berne. Le centre de contrôle de l’Agence spatiale européenne (ESA) a donc lancé une manœuvre d’évitement du satellite et toutes les observations ont été interrompues. « Mais à notre grand soulagement, cette manœuvre a été effectuée avec toute l’efficacité requise et le satellite a pu reprendre ses observations juste à temps pour saisir la mystérieuse planète qui passait », rapporte Nathan Hara, co-auteur de l’étude et maître assistant au Département d’astronomie de la Faculté des sciences de l’UNIGE. « Quelques jours plus tard, les données ont clairement indiqué la présence de cette planète supplémentaire et ont ainsi confirmé qu’il y avait bien six planètes dans le système TOI-178 », explique-t-il.

Un système qui remet en cause les connaissances actuelles

Grâce à la précision des mesures de CHEOPS et aux données antérieures de la mission TESS, du spectrographe ESPRESSO de l’ESO et d’autres, les scientifiques ont pu non seulement mesurer les périodes et les tailles des planètes, de 1,1 à 3 fois le rayon de la Terre, mais aussi estimer leurs densités. Une autre surprise les attendait : comparées à la façon harmonieuse et ordonnée dont les planètes tournent autour de leur étoile, leurs densités semblent être au contraire très disparates. « C’est la première fois que nous observons un tel phénomène », souligne Kate Isaak, chercheuse à l’ESA, qui ajoute que « dans les quelques systèmes que nous connaissons avec une telle harmonique, la densité des planètes diminue régulièrement à mesure que nous nous éloignons de l’étoile. Dans le système TOI-178, une planète terrestre dense comme la Terre semble être juste à côté d’une planète à la densité deux fois moindre que celle de Neptune, suivie d’une autre très similaire à Neptune. » « Le système remet en question notre compréhension de la formation et de l’évolution des systèmes planétaires », conclut Adrien Leleu.

LES DORSÉTIENS : MYSTÉRIEUX PREMIER PEUPLE D’ARCTIQUE

Avant les Inuits, un peuple longtemps méconnu a peuplé l’Arctique canadien. Les Dorsétiens ont laissé derrière eux de magnifiques objets d’art, ainsi que de nombreuses questions pour les archéologues.

  • LIRE LA SUITE
    De Florent Lacaille-Albiges
    Publication 4 oct. 2019, 16:44 CEST
    Pendant longtemps, les Dorsétiens sont restés un peuple mythique, auréolé de mystères. Nommés Tuniits par leurs successeurs, ils étaient décrits comme étant des géants ayant peuplé l’Arctique avant les premiers Inuits. En réalité, il a fallu attendre les années 1920 pour que des archéologues découvrent, à Cape Dorset, dans le nord-est du Canada, des objets antérieurs à l’arrivée des Inuits dans la région. Vingt ans plus tard, le consensus scientifique est entériné : il y a bien eu un peuplement de l’Arctique avant celui des peuples autochtones contemporains.

De fouilles en fouilles, les archéologues ont exhumé de nombreuses figurines de petites tailles et particulièrement travaillées. « C’est l’une des caractéristiques de cette culture, précise Claire Houmard, archéologue de l’Arctique au CNRS. Au Dorsétien, il y a un foisonnement de ces objets fabriqués à partir de matières animales (os, ivoire, bois de caribou, corne), dont beaucoup de représentations très réalistes de morses et d’ours. On ne retrouve pas d’aussi belles pièces d’art arctique dans les autres cultures, qu’elles soient antérieures ou postérieures. »

Peu à peu, les chercheurs ont reconstitué le parcours de cette population méconnue. On estime aujourd’hui que les ancêtres des Dorsétiens quittent l’Alaska vers 3000 avant notre ère. Une migration qui les amène à peupler l’Arctique canadien, puis à se déplacer jusqu’au Groenland, où ils fondent les cultures Indépendance, dans le Nord, et Saqqaq, dans le Sud.

Ils gagnent ainsi les terres du Grand Nord, où ils construisent de petits villages constitués de maisons longues. En témoignent les rectangles de pierre retrouvés au Nunavut et au Québec. « On suppose que les premiers villages étaient composés d’une seule famille. Puis, quand on avance dans le temps, on observe un peu plus de maisons, note l’archéologue. Il reste néanmoins impossible de se faire une idée du nombre de Dorsétiens qui peuplaient l’Arctique. C’est d’ailleurs une question importante sur un territoire aussi vaste : combien étaient-ils pour que la population perdure ? »

Une chose est sûre : les Dorsétiens s’en sortent mieux que leurs cousins groenlandais, dont les populations s’éteignent. Ils sont même assez nombreux pour s’étendre tout au long des rives nord de l’Amérique et repeupler le Groenland, vers l’an 700. Ils restent cependant très isolés, sans contact connu avec d’autres populations.

Ici encore, les légendes questionnent les archéologues. Depuis la fin du 10e siècle, les Vikings naviguent dans le secteur. Ils établissent des comptoirs au Groenland et sur les côtes canadiennes. Leurs sagas mentionnent des rencontres avec des autochtones. Mais, sur place, rien ne permet de le confirmer. Claire Houmard détaille : « Quelques objets ont été mis au jour sur des sites de fouilles : clous, fragments de tissus… Mais cela ne prouve pas qu’il y avait des échanges. Il est tout à fait possible que cela provienne d’un bateau échoué. »

Le dernier mystère qui entoure les Dorsétiens est celui de leur disparition soudaine, à la fin du 13e siècle, juste au moment de l’arrivée des Thuléens, les ancêtres des Inuits. De nombreux scénarios ont été proposés, de l’extermination à l’assimilation, en passant par tous les niveaux de contacts plus ou moins prolongés. « L’hypothèse qui prime aujourd’hui est l’évitement entre les deux cultures, explique la chercheuse. Les Thuléens auraient quitté l’Alaska à la suite de conflits, et les Dorsétiens se seraient tenus à distance de cette foule belliqueuse. Il est aussi possible que les ancêtres des Inuits aient été porteurs de maladies inconnues des Dorsétiens et que ces derniers aient fui devant les épidémies. En fait, toutes ces questions restent ouvertes, car nous avons trop peu de restes humains pour déterminer ce qui s’est passé. »

Cela limite également la possibilité de faire appel à la génétique pour savoir si des métissages ont eu lieu entre les deux peuples de l’Arctique. Jusqu’à présent, les rares études ne sont pas parvenues à démontrer une filiation entre Inuits actuels et Dorsétiens.

Quelques objets retrouvés dans des maisons thuléennes constituent les seules traces matérielles de ceux qui ont habité l’Arctique pendant quatre millénaires. Mais peut-être n’ont-ils été récupérés qu’après la disparition des Dorsétiens, ou placés là involontairement au cours du déplacement de blocs de tourbe pour la construction des abris hivernaux ?

Un dialecte de l’est du Groenland, issu d’un mélange entre le thuléen et une langue inconnue, intrigue aussi les spécialistes des peuples pré-inuits. Est-ce un reste de dorsétien ? « Sur ces questions, il y a encore beaucoup de portes ouvertes, conclut Claire Houmard. C’est ce qui rend le sujet intéressant. »

Découverte d’un passage secret à l’intérieur de la pyramide de Khéops

Un roman de Giacometti et Ravenne

Traitant des Templiers et du livre d’Enoch

  1. Terre sainte.
    Alors qu’une mystérieuse secte d’assassins fait régner la terreur, l’empereur mystique Frederic II, l’ordre des teutoniques et les chevaliers templiers s’affrontent pour retrouver le secret des secrets.

De nos jours.
Antoine Marcas part en quête du véritable livre d’Enoch, un manuscrit apocryphe, convoité par des start up de pointe, prêtes à tout pour s’en emparer.

Eric Giacometti et Jacques Ravenne livrent un nouveau thriller explosif et initiatique avec leur héros, le commandant Franc-maçon Antoine Marcas.

Une série vendue à plus de 3 millions d’exemplaires.

Le Livre d’Enoch

L’Hénoch éthiopien est composé de cinq livres, précédés d’une introduction (1-5) aux trois premiers livres :

Le Livre des Veilleurs (6-36) a été composé à une époque antérieure à 200 avant notre ère. Il décrit la rébellion et la chute des anges déchus puis plusieurs voyages visionnaires d’Hénoch au Ciel et aux Enfers en compagnie des archanges qui lui font diverses révélations. Le livre se divise lui-même en deux parties, L.V.1 (6-11) et L.V.2 (12-36).
Le Livre des Paraboles (37-71) a été composé vers 30 avant notre ère. Il contient des paraboles et des visions concernant la fin des temps et le Jugement dernier. Cette section contient le livre de l’apocalypse de Noé.
Le Livre de l’Astronomie (72-82) a été composé vers la même époque que les Veilleurs. C’est un traité d’astronomie et de météorologie.
Le Livre des Songes (83-90) a été composé vers 160 avant notre ère. C’est un recueil de songes visionnaires.
L’Épître d’Hénoch (91-108), composé au ier siècle avant notre ère, dit aussi Parénèses, contient un ensemble d’exhortations et d’annonciations. Cette partie se trouve aussi sous le nom : Livre de l’exhortation et de la malédiction. Les trois derniers chapitres sont considérés comme des appendices, le chapitre 105 étant une conclusion au livre.

Nôtre petite analyse sur L’ORDRE DU TEMPLE SOLAIRE

A la suite de une série de 4 épisodes diffusée sur l’Ordre du Temple solaire j’ai tenté de retrouver l’origine qui aurait inspiré son dogme. Il est fait mention quelques dans certaines enquêtes de l’Ordo Templis Orientis. Une doctrine d’origines Maçonnique lié aussi au Franc-maçon Aleister Crowley qui en fut le grand Maître.

On peut d’ailleurs reconnaître sur le logo de l’OTS l’équerre et le compas maçonnique, la Lune et le soleil sont arborés dans les loges.

Mais également sur les capes la croix des Chevaliers Templiers puis des Chevaliers de Malte et enfin l’aigle bicéphale qui représente des degrés maçonniques.

La franc-maçonnerie, rappelons-le dont faisait partie Joseph Di Mambro !

Mais, qui est Edward Alexander Crowley!

Il est né le 12 octobre 1875 à Royal Leamington Spa dans le Warwickshire et mort le 1ᵉʳ décembre 1947 à Hastings. Dit Aleister Crowley, il est aussi connu comme Maître Therion, Frater Perdurabo, The Great Beast 666 ou « L’homme le plus malsain du monde ». C’est un écrivain, poète, occultiste, franc-maçon, tarologue et astrologue britannique.

Fils d’une riche famille protestante fondamentaliste, du courant darbyste, il abjure la foi chrétienne à l’adolescence, après la mort de son père. À Cambridge, il change son prénom d’Edward en Aleister et commence à s’intéresser à l’occultisme. Initié au sein de la Golden Dawn, il s’en détache rapidement pour poursuivre sa propre voie ésotérique, fondée sur une magie sexuelle. Il dilapide sa fortune durant ses recherches qui le mènent partout dans le monde.

Crowley devient rapidement très controversé, tant pour ses mœurs sexuelles que pour ses idées occultistes, mais également pour ses idées politiques. Germanophile, il devient indésirable au Royaume-Uni avec la Première Guerre mondiale. Il est ensuite chassé de Sicile, où il s’était installé, après divers scandales. Il continue ses errances. Il meurt à 72 ans d’une crise cardiaque liée à une bronchite chronique due à sa forte consommation de drogues. Il est incinéré à Brighton et ses cendres ont été perdues.

Aleister Crowley est surtout connu pour ses écrits sur l’occultisme, particulièrement le Livre de la Loi (The Book of The Law), le livre sacré de Thelema. Crowley était aussi membre influent de plusieurs autres organisations occultes : l’Astrum Argentum et l’Ordo Templi Orientis. Concernant cette dernière organisation, il participa à la réécriture complète de ses rituels en fonction de la Loi de Thelema.

Crowley inspira aussi Anton Szandor LaVey créateur de l’église. LaVey s’inspira des idées de Aleister Crowley pour écrire la Bible satanique, livre qui rassemblait les thèses de l’Église de Satan.

L’Ordo Templis Oriantis c’est quoi !

L’Ordo Templi Orientis (O.T.O.) (« Ordre du Temple de l’Est » ou « Ordre des Templiers Orientaux ») est une organisation fraternelle et religieuse qui fut la première à accepter les principes et la loi de Thelema, qui est souvent résumée par la phrase :

« Fais ce que tu voudras sera le tout de la loi. »

Les thélémites pensent que cette loi fut établie par le Book of The Law (Liber AL vel Legis ou Livre de la Loi) dicté à Aleister Crowley en 1904 au Caire par l’entité Aïwass. Sa structure est semblable à celle de la franc-maçonnerie, avec une série d’initiations à des grades successifs. L’O.T.O. comprend également l’Ecclesia Gnostica Catholica ou Église Gnostique Catholique, qui représente la branche religieuse de l’ordre. L’O.T.O. prétend à 500 000 membres dans 58 pays dont la moitié aux États-Unis.

L’O.T.O est reprise en 1995 sur le rapport parlementaire de la commission d’enquête sur les sectes en France suite aux drames de l’OTS.

La fondation de l’Ordo Templi Orientis fut l’œuvre du chimiste Karl Kellner (1851-1905), devenu franc-maçon en 1873, initié à l’Humanitas Lodge. Il pensa avoir découvert la « clé » du secret de la Franc-maçonnerie dans les mystères de la Nature eux-mêmes. Il aspira ensuite à créer une Academia Masonica qui unifierait les divers systèmes de la Franc-maçonnerie. Kellner, avec l’aide du Franc-Maçon Theodor Reuss (1855-1923), décida de nommer cette nouvelle organisation l’Ordre du Temple d’Orient.

En 1880, à Munich , Theodor Reuss participe à une tentative de relance de l’Ordre bavarois des Illuminati d’ Adam Weishaupt . Pendant son séjour en Angleterre, il se lie d’amitié avec William Wynn Westcott , le mage suprême de la Societas Rosicruciana en Anglia et l’un des fondateurs de l’ Ordre hermétique de la Golden Dawn .

En 1902, Reuss Theodor Reuss, avec Franz Hartmann et Henry Klein, obtint le droit de pratiquer le Rite Écossais, le Rite de Memphis et le Rite de Mizraïm, autorité qui lui sera confirmée en 1904 et en 1905. Ces rites, avec le Rite Swedenborgien, constituèrent le cœur du nouvel ordre ainsi établi. Lorsque Kellner mourut en 1905, Reuss assuma le contrôle absolu de l’O.T.O. en devenant le premier Outer Head of the Order (Chef Visible de l’Ordre).

Reuss rencontra Aleister Crowley et en 1910 ou 1912, il admit celui-ci aux trois premiers degrés de l’O.T.O. Deux ans après seulement, Crowley fut chargé de la Grande-Bretagne et de l’Irlande avec la charge de X° de l’Ordre (dernier grade de l’O.T.O. conférant la contrôle sur une aire géographique déterminée). Cet avancement allait de pair avec la communication des degrés maçonniques appelés Mysteria Mystica Maxima.

Aleister Crowley va alors étudier tous les documents de l’O.T.O. correspondant à la magie sexuelle et tenir un journal, Rex de arte regia. Il va ensuite réécrire tous les rituels de l’O.T.O. et la messe de l’Église Gnostique Catholique.

Vers les années 1920-1921, les rapports entre Crowley et Reuss se détériorèrent, menant à l’auto-proclamation de Crowley comme nouveau « Chef Visible de l’Ordre ». Reuss mourut le 28 octobre 1923, et Crowley clamera alors que Reuss lui avait accordé les droits et pouvoirs comme successeur. Cette prétention sera souvent remise en cause par d’autres groupes se réclamant de l’héritage de Reuss (voir à ce sujet le site de Peter Koenig). Mais, en 1925, il est proclamé Maître Suprême pour l’O.T.O.

Les Chefs invisibles terme qui est repris étrangement dans le témoignage de l’une des survivantes des massacres de l’OTS.

GRENOBLE Une ancienne adepte de l’Ordre du temple solaire a accusé mercredi de mystérieux maîtres supérieurs d’avoir joué un rôle dans la mort de 74 fidèles, de 1994 à 1997. Je suis sûre qu'il existait quelque chose au-dessus et que ce quelque chose existe encore. Chaque adepte qui est en vie n'a qu'à bien se tenir´, a dit au tribunal correctionnel de Grenoble Evelyne Bellaton, une cantatrice de 57 ans. Au deuxième jour du procès de l'OTS, elle a indiqué que les responsables des crimes reprochés à la secte seraient lesmaîtres de Zürich´, dont lui avait parlé le gourou Joseph Di Mambro mais qu’elle a reconnu n’avoir jamais vus. Evelyne Bellaton a aussi expliqué que les rituels et croyances ésotériques de la secte relevaient de la franc-maçonnerie, de l’Egypte antique et des Templiers´. De 1979 à 1986, elle avait été membre de la Fondation Golden Way, fondée en Suisse, avant l’OTS, par Joseph Di Mambro. Les fidèles de l’OTS vivaient ensemble près de Genève, se livraient à de fréquentes cérémonies rituelles où, vêtus de capes de Templiers, ils assistaient à des apparitions´ et écoutaient desmessages´ de l’au-delà.

Durant la Seconde Guerre mondiale, la majorité des diverses branches de l’O.T.O. en Europe furent détruites et l’unique loge de l’O.T.O. encore en activité fut alors l’Agapé Lodge en Californie. En 1942, Karl Germer fut désigné par Crowley comme son successeur à la tête de l’O.T.O., charge qu’il reprit effectivement à la mort de Crowley en 1947.

Sous Germer, les activités de l’O.T.O. furent très réduites et peu d’initiations furent données. Il mourut en 1962 sans nommer de successeur. Il faudra attendre 1967 pour que Grady McMurtry, s’appuyant sur des lettres de Crowley, clame son droit à la succession.

Grady Louis McMurtry (18 octobre 1918 - 12 juillet 1985) était un élève de l’auteur et occultiste Aleister Crowley et un adepte de Thelema . Il est surtout connu pour avoir relancé l’organisation fraternelle Ordo Templi Orientis , qu’il a dirigée de 1971 jusqu’à sa mort en 1985.

Alors la secte Golden Way devenu l’OTS serait-elle devenue l’héritière du patrimoine de l’O.T.O et de mystérieux chefs invisibles à Zurich.

Après 21 ans de fouilles, une chercheuse pense avoir découvert le quartier royal d’Alexandrie

Il pourrait abriter la dépouille perdue d’Alexandre le Grand.
Des livres d’Histoire aux productions hollywoodiennes, il est partout. Si la légende d’Alexandre le Grand est connue de tous, personne ne sait où repose le conquérant Macédonien. Personne ou presque, puisque 2346 ans après sa mort une archéologue grecque pense avoir retrouvé son tombeau dans les entrailles de la ville d’Alexandrie en Égypte. Calliope Limneos-Papakosta, c’est son nom, travaille sur un site situé sous un parc public. Ses recherches sont restées infructueuses jusqu’à récemment lorsqu’elle a mis au jour une statue, puis une ancienne route romaine et les restes d’un grand édifice public qui pourrait être l’antique quartier royal et abriterait la dépouille tant convoitée.

La preuve que la patience et l’opiniâtreté payent. La chercheuse entame sa 21ème année de fouilles sur place : « Je n’ai jamais vu, dans toute ma carrière, quelqu’un qui soit resté sur le même site pendant 21 ans” s’étonne l’un de ses associés, interrogé par National Geographic. Ce qui explique la lenteur de ces recherches, c’est la configuration particulière des lieux. Le site se trouve dans l’ancienne cité de Memphis absorbée par la ville d’Alexandrie, situé au bord du Nil. La zone, particulièrement sujette aux tremblements de terre, a vu les eaux du fleuve engloutir des quartiers entiers et chaque excavation archéologique implique de pomper inlassablement les infiltrations et les poches qui parsèment les sols. Des opérations longues et coûteuses.

Gunung Padang site de 24’000 avant J-C

Situé à 885 mètres d’altitude, le site couvre une colline en une succession de terrasses bordées de murs de soutènement de pierre, auxquelles on accède par une montée de 400 marches formant une ascension de 95 mètres. Il est couvert de massives pierres rectangulaires d’origine volcanique, auxquelles les habitants de la région ont donné des noms. Ils considèrent le lieu comme sacré et croient qu’il a pour origine une tentative du roi Siliwangi de Pajajaran de construire un palais en une nuit.

La part respective de la formation naturelle de blocs basaltiques d’origine volcanique et des aménagements dus à des sociétés humaines, éventuellement à différentes époques, reste à déterminer

Selon le géologue Danny Hilman, se basant sur des datations au carbone 14 du mortier agglomérant les blocs de basalte, le site serait vieux de plus de 24 000 ans. Ceci est très controversé, car ce serait une indication d’une civilisation présente dans la région à cette époque reculée, qui serait une des premières, voire la première, civilisation connue avec celle de Göbekli Tepe, mais dont aucune trace n’a été trouvée par ailleurs. Les vestiges archéologiques de cette région à cette époque suggèrent une population de chasseurs-cueilleurs aux outils fait d’os.

L’archéologue Harry Truman Simanjuntak a suggéré en 2014 que le site pourrait avoir été bâti entre le iie et le vie siècle de notre ère.

IZRAEL OU ​RAZIEL

L’ange Raziel (en hébreu רזיאל) est un ange de la tradition cabalistique et magique juive, dont le nom signifie « secret (רז) de Dieu (אל) », et dont la fonction est précisément de révéler les secrets de Dieu. Il est souvent comparé à l’ange Gallitsour, révélateur des secrets de Dieu dans le Sefer ha-Yashar.

Absent du texte biblique, sa première apparition semble être sa mention dans le Targoum Qohélét, écrit autour de l’an 500.

On le retrouve également dans le Zohar (1, 55b) où il apparaît à Adam comme révélateur d’un livre de la sagesse.

Il joue un rôle important dans la littérature magique médiévale, que ce soit dans les Sefer Raziel hébreu et latin, ou dans le Sefer ha-Razim.

Au XIIIe siècle, le cabbaliste et philosophe Abraham Aboulafia écrit sous le pseudonyme Raziel, qui a la même valeur numérique que son nom.

Azriel se traduit par “mon secours est Dieu”

On retrouve ce nom chez un chef de maison de la demi-tribu de Manassé au delà du Jourdain. Et homme de Nephthali, ancêtre de Jerimoth, chef de tribu au temps du recensement de David Père de Seraja, un officier du roi Jojakim de Juda.

Alors simplement coïncidence ou cryptage voulu !

AL-KABA

AL-KA’BA et KABALA !

Pour comprendre le mot AL-KA’BA à mon sens il faut tout d’abord le décomposer en trois et retrouver la signification des mots:

AL qui se traduit par haut élevé qui est aussi la racine de Allah.

KA pour les Anciens Égyptiens, le ka est, entre autres, la vitalité d’un être, à savoir la faculté d’accomplir tous les actes de la vie.

BA est une composante immatérielle des dieux et des hommes. Tout comme le Ka, cette notion n’a pas d’équivalent exact dans les langues européennes contemporaines. Ce concept est toutefois le plus souvent traduit par le mot « âme » ou par l’expression « âme-Ba ». Le Ba est la représentation de l’énergie de déplacement, de dialogue et de transformation. Après le décès, cette capacité de manifestation permet à l’individu égyptien d’établir le contact entre le monde invisible des dieux et des ancêtres, auquel il appartient désormais, et le monde des humains, qu’il a quitté mais auquel il reste très attaché.

Ce qui pourrait nous amener à comprendre un concept de《 haute vitalité de l’âme》!

Il faut aussi savoir qu’avant même que le premier homme ne soit créé, Allah a donné pour ordre aux anges de construire ce qui sera la représentation sur terre de la maison céleste (Al-Baytul Maamur), lieu de culte des anges qui se trouve directement au-dessus de la Al-Ka’ba dans les cieux.

Donc ce lieu de culte semble directement relier aux anges ce qui pour le moin paradoxal puisque Al-Ka’ba nous donne l’anagramme de Kabala variante de Cabala se traduisant par Cabale venant de l’hébreu קבלה Qabbala « réception ».

Cette Cabale hébraïque qui est une tradition ésotérique du judaïsme, présentée comme la prétendue « Loi orale et secrète » donnée par YHWH à Moïse sur le mont Sinaï, en même temps que la « Loi écrite et publique » (la Torah). Elle trouve sa source dans les courants mystiques du judaïsme synagogal antique.

L’un des textes de l’école mystique de la Cabale se trouve justement traiter le sujet des Anges avec le Livre d’Hénoch, composé à une date incertaine, entre le IIIe siècle av. J.-C. et le Ier siècle de l’ère chrétienne, présenté sous la forme d’un voyage céleste où se révèlent les « mystères de la création ».

Devrions-nous comprendre alors que lieu sacré de l’Islam AL-KA’BA et la mystique des juifs de la KABAL nous rameneraient tous deux aux Anges et à la haute vitalité de notre âme.

Afin que les messagers de Dieu puissent nous conduire jusqu’à lui !

De Ponce Pilate aux Templiers

Ce docu-fiction sur Vienne, cité sainte et maudite, fait revivre avec éclat les grandes heures de notre histoire : premiers chrétiens, Ponce Pilate, chansons de geste et destin des Templiers. Un document exceptionnel sur ce théâtre grandiose des légendes de l’Occident.

Le partage selon quatre concepts

Publications, vidéos, postcast

L’écriture ou respectivement les publications et l’audiovisuel sont des domaines qui nous tiennent à cœur. Parce que ceux-ci, nous permettent de partager et d’échanger sur le net avec des millier de personnes nos travaux. Qui nous l’espérons pourra conduire à un certain éveil intellectuel dans la population.

Recherches et quêtes

La recherche et la quête sont les sources du développement de l’information et de ce fait les véhicules de la connaissance. Voilà pourquoi nous organisons via ces deux grands canaux de la connaissance de multiples recherches et quêtes qui peuvent être accessibles à toutes et tous.

Vidéos conférences

Les vidéos conférences sont des moyens qui nous permettent véhiculés nos travaux de recherches et de les partager avec un large public. Tout en occasionnant une interactivité avec le monde entier à travers nos écrans.

Evenements

Les événements qu’ils soient organisés sur fond d’écran ou en direct à travers des conférences, des voyages ou des rencontres nous permet de tisser un réseau de personnes ayant les mêmes passions et points d’intérêt communs.

Rejoignez-nous

Vous êtes intéressé pour nous rejoindre et partager vos articles contactez-nous.

Votre navigateur est obsolète!

Mettez à jour votre navigateur pour afficher correctement ce site Web. Mettre à jour maintenant

×